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1928

 

Second fils d'une famille ouvrière (son père était cheminot), Julio Le Parc est né le 23 septembre dans la ville de Mendoza, province de Mendoza, au pied de la cordillère des Andes, à 1100 km à l'ouest de Buenos Aires, capitale de l'Argentine. Il a donc passé son enfance à Mendoza et y a commencé l'école. Elève médiocre, il dessine cependant très bien les portraits de célébrités et les cartes illustrées A 13 ans il commence a travailler irrégulièrement, comme livreur de journaux, comme apprenti dans un atelier de réparation de bicyclettes ou dans une entreprise d'emballage de fruits.

 

1942

 

Il s'installe a Buenos Aires avec sa mère et ses frères. Ouvrier apprenti dans une usine de maroquinerie, la nuit, il prépare l'examen d'entrée à l'Ecole des Beaux-Arts.

 

1943-1946

 

Cours du soir aux Beaux-Arts. Travaille pendant la journée. Il travaille tout d'abord dans une maroquinerie, puis dans une bibliothèque et enfin dans une usine métallurgique. Premières expériences avec le mouvement des étudiants des Beaux-Arts, assemblées, revendications, etc. Le Parc s'intéresse aux mouvements artistiques d'avant-garde en Argentine: Mouvement d'art-concret-invention, Mouvement spacialiste animé par Fontana, son professeur aux Beaux-arts.

 

1954

 

Conscient de sa situation de marginal, il réintègre la société, obtient un poste de portier (concierge) dans un théâtre officiel, rejoins un groupe de théâtre expérimental indépendant, passe l'examen d'entrée en candidat libre a l'Ecole supérieure des Beaux-Arts, ou il est d'abord recalé puis admis.

 

1955

 

Il revient à l'Académie des Beaux-Arts et participe activement aux mouvements étudiants Nombreuses assemblées, occupation des trois écoles des Beaux-Arts, mise a la porte de leurs directeurs. Les étudiants prennent la direction des écoles occupées, suppriment les règles de discipline. Classent les professeurs par catégories: bons, mauvais ou indésirables, pratiquent une politique de portes ouvertes, concoctent de nouveaux plans d'études, lancent un appel aux jeunes artistes d'avant-garde, organisent des manifestations de rue, sont arrêtés, etc.

Il fait la connaissance de Martha.

 

1956-1958

 

Tout en réalisant des tableaux, des gravures et des monotypes, Le Parc et ses camarades analysent leur avenir d'artistes; c'est ainsi qu'ils décident de venir à Paris, centre artistique, pour rompre la dépendance qui les lie et voir de leurs propres yeux ce qui se fait là-bas et non pas le reflet déformé qui en arrive a Buenos Aires. Il se présente donc a un concours et obtient une bourse du Service culturel français, ce qui lui permet de partir à Paris, ou il arrive le 4 novembre 1958. Sobrino arrive peu de temps après, les autres suivent.

 

1959

 

Ensemble ils analysent les œuvres des artistes contemporains et d'avant-garde, repérant les contradictions et les limites à dépasser. C'est ainsi qu'au début de cette année-là, apparaissent les différences entre l'œuvre de Vasarely et les expériences de Le Parc et de Sobrino, qui travaillent d'une manière systématique sur la base de séquences et de progressions pour obtenir des résultats optiques. Ils critiquent ainsi de manière constructive l'attitude des artistes qui utilisent le libre choix des formes et leur libre emplacement dans l'espace et la surface. Ces critiques s'adressent principalement aux artistes de la tendance constructiviste ou cinétique de l'époque. Contacts avec Denise René, Vasarely, Vantongerloo, Morellet, etc.

Recherches visuelles sur la surface. Problèmes d'ordonnances régulières. Homogénéité des formes et des relations de formes. Séquences progressives de formes, de positions, de couleurs, etc. Problèmes de post-image. Instabilité visuelle. Décomposition du plan en quatre plans superposés, en forme de cube. Premiers essais d'image-lumière démultipliée par des plans de plexiglas en profondeur.

Martha le rejoins à Paris

 

1960

 

Fondation du GRAV (Groupe de recherche d'art visuel), qui concrétise, donne forme, organise et développe la confrontation d'expériences et d'idées. L'acte de fondation est signé par: Demarco, Garcia Miranda, Garcia Rossi, Le Parc, Molnar, Morellet, Mayano, Servanes, Sobrino, Stein, Yvaral. Premiers textes collectifs. Présentation d'expériences, débats. Naissance de son premier fils: Juancito

Expériences personnelles avec la lumière Petites boites de lumière avec un mouvement manuel qui produit des changements d'images et de couleurs. Premiers mobiles; blanc sur blanc, transparent sur blanc, mobiles au plafond. Premières recherches avec la lumière indirecte et rasante sur un plan et sur des écrans incurvés et accidentés Premiers reliefs en bois avec des progressions de niveaux, de rotation, etc

 

1961

 

Premier texte du GRAV, " Propositions sur le mouvement " et à l'occasion de la biennale de Paris, distribution du tract: " Assez de mystifications " deuxième présentation dans l'atelier du groupe, rencontres, discussions, publications du texte: " Propositions générales ", signé par Garcia Rossi, Le Parc, Morellet, Sobrino, Stein, Yvaral

Expériences personnelles sur la couleur-lumière en profondeur avec des changements aléatoires.

 

1962

 

Première exposition du groupe, enquêtes, débats publics Voyages et rencontres des membres du groupe "N" de Padoue, du groupe " T " de Milan et d'autres artistes, qui réalisent des recherches parallèles à celles du GRAV Parmi eux: Enzo Mari et Von Graevenitz, ainsi que le critique Mestrovitch. Avec eux, l'idée de la "Nouvelle Tendance" comme mouvement international prend forme au cours de rencontres et de discussions diverses. Participation du GRAV à l'exposition "Arte programmata" en Italie. Voyage a New York pour la première exposition du GRAV aux Etats-Unis. Texte personnel : " A propos de l'art-spectacle.. ". Rencontres avec d'autres Latino-Américains, a l'exposition " L'Art Latino-américain à Paris ".

Expériences personnelles avec la lumière et des mobiles dans un cube translucide et animation d'une pièce avec de la lumière en mouvement projetée sur les murs, le sol et le plafond Visualisation de rayons de lumière en mouvement. Expériences avec de la lumière rasante sur un cylindre réfléchissant.

 

1963

 

Diverses manifestations du GRAV sous le titre: " L'Instabilité ", Premier labyrinthe du groupe a la biennale de Paris. Le Parc participe, au nom du groupe, au Congrès international des critiques d'art à Rimini, ou il présente la " Proposition pour un lieu d'activation ". Nouveau texte sous le titre: " Assez de mystifications " Voyage à Zagreb a l'occasion de l'exposition "Nove Tendencije", et rencontre avec la majorité des exposants, discussions et organisation de la NT en tant que mouvement international. Naissance de son deuxième fils, Gabriel.

Expériences personnelles: incorporation de contingences extérieures a l'œuvre, propositions de labyrinthes, expériences de parcours, passages accidentés, premiers jeux. Œuvres de grande dimension (Biennale de Paris).

 

1964

 

Rencontres des artistes de la "Nouvelle Tendance" en vue d'organiser une grande manifestation a Paris, au cours de laquelle Le Parc, Morellet et Stein réaliseront un labyrinthe. Proposition au GRAV de réaliser "Un jour dans la rue". Voyage en Argentine et au Brésil a l'occasion des expositions du GRAV sur " l'instabilité " rencontres, débats, discussions, etc. Sur le plan personnel, développement d'idées de labyrinthes, de passages, d'éléments à manipuler, évolution des reliefs avec des réflecteurs incurvés.

 

1965

 

Avec le groupe, réalisation du "Troisième labyrinthe" à New York. Publication du texte "Stop-Art" Réalisation pour le GRAV, à la biennale de Paris, d'une salle de jeux ou le spectateur est partie prenante et déterminante des situations proposées. Personnellement, développement de thèmes de jeu, miroirs en mouvement, éléments pour des salles de jeu, ensemble de mouvements surprises, chaussures pour marcher différemment, lunettes pour voir autrement, etc Naissance de son troisième fils, Yamil.

 

1966

 

Première exposition personnelle (Galerie Howard Wise, New York); avec le groupe, réalisation d'une expérience a Paris intitulée: "Une journée dans la rue", qui commence a huit heures du matin et se termine a minuit malgré l'intervention de la police. Cette expérience, programmée en 1964, comportait une présentation de divers éléments qui, regroupés ou non, provoquaient des situations différentes toutes les deux heures et en différents lieux de la capitale On y distribuait un texte du GRAV, un plan avec le programme de la journée et une enquête. Salle personnelle à la biennale de Venise Le Parc obtient le Grand Prix international de peinture, Interview de Le Parc dans la revue ROBHO Texte du GRAV sur le thème des "Multiples", Première exposition personnelle à Paris, galerie Denise René, Rive Droite et Rive Gauche; réalisation et présentation des multiples. Présentation du groupe a l'exposition " Kunst Licht Kunst ", à Eindhoven. Il s'agit d'un labyrinthe dans lequel la lumière est utilisée pour solliciter la participation du spectateur. Personnellement, développement des ensembles avec mouvements surprises, Essais de lumière intermittente, de séries de miroirs, d'éléments pour "Une Journée dans la rue", de multiples.

 

1967

 

Deuxième voyage en Amérique latine à l'occasion d'expositions rétrospectives. Rencontres, débats, échanges d'idées, discussions, déclarations, interviews, etc. Réalisation de "Anti-voiture". Réalisation avec le GRAV d'un Parcours a volume variable, à Paris Personnellement, développement de thèmes sur la lumière intermittente, les ambiances, les contorsions, les murs transparents avec des plaques réfléchissantes.., Travail sur le texte " Guérilla culturelle ". Le Parc est fait chevalier de l'ordre des Arts et des Lettres par André Malraux, ministre français de la Culture.

 

1968

 

Publication du texte " Guérilla culturelle" dans ROBHO Grande exposition du GRAV à Dortmund en Allemagne, sous le titre "A la recherche d'un nouveau spectateur", avec une grande salle de jeu et une sortie dans la rue avec des éléments de jeu et l' " Anti-automobile ", Avec le groupe, réalisation de travaux collectifs; l'un sous le titre " Variations sur l'escalade", à Buffalo, un autre à Saint-Paul de-Vence "Œuvre pénétrable", et un autre a Grenoble qui utilisait le mouvement d'éléments mobiles impulse par une scène tournante. Dans ces œuvres collectives, le spectateur est toujours l'élément primordial et c'est lui, avec sa participation, qui donne un sens à ce qui lui est proposé. Le groupe termine un projet de livre sur ses activités, réflexions, textes, réalisations, etc.

Mai français Contestation générale. Atelier populaire d'affiches. Le Parc est expulsé de France, avec d'autres; il parcourt plusieurs pays d'Europe, avec Enzo Mari, il envoie un télégramme à " Documenta " pour retirer sa participation. Cinq mois plus tard, la mesure d'expulsion est suspendue grâce aux multiples actions et revendications du milieu culturel et Le Parc revient à Paris. Dissolution du GRAV. Textes d'analyse, texte "Démystifier l'art". Analyses et discussions sur le comportement de l'artiste.

 

1969

 

Année de transition, réflexions collectives, projets en commun non réalisés. Préparation de "Amérique latine non officielle ", Boycott de la biennale de Sao Paulo. Assemblées publiques. Campagne internationale de mobilisation d'artistes, interventions dans le milieu culturel, etc.

Premier jeu-enquête: "Renversez les mythes" Réalisation des cellules dans lesquelles la lumières, vibrante et mouvante, baigne le spectateur.

Le Parc reprend ses expériences de 1959 sur la couleur; il les systématise et les développe.

 

1970

 

Le Parc déménage son atelier de Paris à Cachan, en banlieue de Paris. Voyage à Puerto Rico à l'occasion de la " Biennale américaine de gravures", là, déclaration collective en faveur des luttes de libération des peuples latino-américains Déclaration en direct à la télévision de Puerto Rico. Voyage à Cuba, participation au colloque de La Havane sur le thème: " Fonction sociale de l'art dans la société contemporaine ". Découverte et contact avec la réalité révolutionnaire cubaine, analyses et discussions avec des intellectuels et des artistes dans le but de trouver une nouvelle attitude. Texte personnel de Le Parc sur ses conclusions à la suite de ce colloque. Réalisation collective: " Amérique latine non officielle ", à Paris, grande manifestation contre l'information officielle au travers d'un parcours visuel, de débats, assemblées, etc. Voyage en Colombie à l'occasion de la biennale de Medellin, jeux-enquêtes, enquête générale, débats, rencontres, déclarations collectives sur l'Amérique latine Développement de jeux enquêtes et de thèmes sur la couleur. Texte "Couleur 1959". Second voyage à Cuba. Grande exposition personnelle a la Maison des Amériques, enquête, discussions publiques, rencontres, tentative de création d'une équipe expérimentale travaillant en collaboration avec le peuple.

 

1971

 

Expérience collective à l'air libre avec Morellet, Stein, Boriani, Colombo et De Vecchi, a Milan. Texte de réponse aux questions d'Enzo Mari. Troisième jeu-enquête. Participation à l'organisation d'un rassemblement d'artistes latino-américains à Paris, assemblées, discussions, projets, Lutte dans le milieu culturel Travail collectif: " Journal d'une veuve de mineur ". Mobilisation d'artistes, création du FAP (Front des arts plastiques).

 

1972

 

Grande exposition rétrospective personnelle à la Kunsthalle de Düsseldorf, avec plusieurs salles, notamment une de jeux et avec participation du spectateur; enquêtes, jeux-enquêtes, réalisation d'une expérience conçue conjointement avec Fromanger et Merri Jolivet, sur le thème des cartes postales. Publication, à l'occasion de cette exposition, d'un important catalogue ou les différentes expériences sont analysées et qui réunissent les principaux textes et apports. Campagne contre l'exposition Pompidou avec le FAP, mobilisation des artistes, assemblées, textes déclarations, etc. Le Parc renonce a participer a cette exposition, que ce soit individuellement ou comme ex-membre du GRAV. Le Parc met en question une proposition qui lui est faite de présenter une importante exposition rétrospective à Paris. Il rédige un texte d'analyse et lors d'une réunion au musée d'art moderne, il se plie a la décision du hasard (a pile ou face) et refuse la proposition. Réalisation collective "La torture", avec le groupe DENUNCIA. Le Parc assiste aux " Premières rencontres des arts plastiques latino-américains" à la Maison des Amériques de La Havane; analyses, discussions, accords, expositions, déclarations, appels.

 

1973

 

Voyage en Argentine. Contact avec la réalité d'un peuple plein d'espoir qui croît avoir trouve le chemin de sa libération. Là, contacts avec le milieu culturel, discussions, mobilisation d'artistes, projets.

Exposition personnelle à New York à laquelle Le Parc ne peut assister car le gouvernement des Etats-Unis lui refuse le visa. Le Parc assiste aux "Secondes rencontres des arts plastiques latino-américains" à la Maison des Amériques de La Havane, ou l'on fait une évaluation des réalisations et des possibilités dans ce domaine. Lors d'une exposition au musée des Beaux-Arts, une déclaration collective

est rédigée; les participants dédient une de leurs journées a Salvador Allende pendant laquelle ils réalisent en public chacun un tableau.

En tant que professeur a la faculté d'art, Le Parc forme une équipe avec les étudiants et ils réalisent ensemble plusieurs travaux collectifs, dont un sur le thème du travail.

 

1974

 

Développement de travaux de solidarité avec le peuple chilien au travers de "Viva Chile"Travaux collectifs avec les étudiants en art. Réalisation d'une peinture murale sur le thème des ondes couleurs et de la Longue Marche dans la nouvelle usine Renault.

Développement d'expériences de couleurs sur la base des 14 couleurs et sur les thèmes des ondes, des volumes virtuels et de La Longue Marche. Texte personnel sur le FAP.

Premiers essais sur le thème des modulations.

 

1975

 

Le Parc adhère au "Collectif des peintres antifascistes", il y participe par ses analyses et ses prises de position ainsi qu'en se joignant à une œuvre collective "Un monde à détruire - un monde a construire". Voyage a Venise et constitution de la Brigade internationale de peintres antifascistes, discussions, analyses, accords et réalisation d'une œuvre collective dans le port de Venise tout d'abord, puis d'une autre à Athènes

Développement de thèmes sous le titre générique de "Modulations" avec la technique de l'aérographe et notamment de variations en gris, blanc et noir.

Début d'une mobilisation d'artistes autour du nouveau Centre national d'art Georges Pompidou.

 

1976

 

Œuvre de la Brigade internationale a Paris Banderole commune du collectif de peintres antifascistes a l'occasion du défilé du 1e Mai, sur le thème du nouveau Centre d'art Pompidou. La mobilisation d'artistes autour du problème posé par l'apparition de ce nouveau centre continue. Discussions, assemblées, exigences, etc. Texte dialogue avec Maurice Matieu dans la revue "16 rue de Lille" Texte personnel dans le n° 2 de "16 rue de Lille" Le Parc prépare et réalise la maquette d'un livre a éditer à La Coruna, et qui comprend un maximum d'informations sur ses recherches, ses prises de position, ses textes, ses travaux collectifs.

 

1977

 

Mobilisation continuelle d'artistes contre l'existence du Centre Beaubourg, réunion de 1000 artistes à Créteil. Œuvre collective de la Brigade internationale au festival de Nancy. Préparation et création du SNAP (Syndical national des artistes plastiques) adhèrent a la CGT. Mise au point d'un système d'édition au pochoir et à l'aérographe.

Développement de thèmes pour l'édition de la famille des "Modulations". Préparation d'une exposition personnelle à Madrid.

 

1978

 

Dans le cadre de son exposition rétrospective de Madrid: enquête publique pour la donation d'une œuvre, table ronde avec la participation de l'Association des artistes espagnols, texte de Le Parc:

" L'artiste dans son contexte social actuel". Dans ses expositions rétrospectives du musée de Bilbao et de la Fondation Miro de Barcelone: échanges, discussions et réflexions avec des étudiants en art et des artistes. Edition d'un livre sur Le Parc par les éditions Guadalimar de Madrid A Aix-en-Provence, Le Parc donne une conférence-débat à l'Ecole des arts et s'occupe de la coordination d'un groupe d'étudiants pour un travail collectif d'intervention et de participation du public, dans la rue. Réalisation d'une peinture murale dans une rue de Villeparisis, avec la Brigade internationale des peintres antifascistes. Le Parc participe aux "Premières rencontres hispano-américaines des critiques d'art et des artistes plasticiens", à Caracas. Débats et échanges sur la problématique de l'art latino-américain Le Parc présente un exposé intitulé "Interrogations". Réalisation, avec la Brigade des peintres, d'une peinture murale en hommage a la lutte du peuple nicaraguayen.

La BBC de Londres réalise un film sur Le Parc et son œuvre; à cette occasion, Le Parc met au point l'idée de visualiser les problèmes de l'artiste dans la société, par une série de scènes, avec des décors et des personnages découpés, le tout sous forme de montage audiovisuel à base de diapositives qui donne une maquette de film.

 

1979

 

Le Parc participe aux "Rencontres de plastique latino-américaine et des Caraïbes la Maison des Amériques de La Havane, a Cuba; il y retrouve la réalité cubaine et s'y trouve confronté à l'évolution de la problématique des arts plastiques, échanges positifs. Il présente une série d'exposés sur la création, la valorisation et la commercialisation de la production artistique cubaine ainsi que sur la confrontation directe avec le peuple. A Montesquiu, il participe a des journées ou il présente son montage audiovisuel " L'autre face de l'art, l'artiste et son contexte social" à de jeunes artistes espagnols. Le Parc fait une série d'expositions personnelles au Venezuela et une au Pérou, accompagnées de rencontres avec des artistes et des étudiants en art, tables rondes, conférences et échanges sur la base de son montage audiovisuel. Développement de différents thèmes de la famille des "Modulations", avec plus de liberté et en y réincorporant la couleur. Reprise des contacts avec l'Italie: rencontres, voyages et expositions.

 

1980

 

Le Parc participe a la "Settima Latino Americana", à Rome; rencontres et échanges avec des artistes, des poètes, des écrivains, des musiciens et des cinéastes latino-américains. Elverio Maurizi écrit un livre sur Le Parc: "Modulazione della luce", édité à Macerata, à l'occasion d'une exposition personnelle de Le Parc accompagnée de débats. Intervention de Le Parc à la faculté d'architecture de Nantes, en France. A Paris, avec des écrivains, des musiciens, des artistes plasticiens et des intellectuels latino-américains, Le Parc participe a la création de l'Association pour la culture en Amérique latine. Le Parc participe aux Journées de la culture latino-américaine, à Sofia en Bulgarie, organisées avec la collaboration de la Maison des Amériques de Cuba. Rencontres et échanges avec des artistes, des architectes et des écrivains bulgares et relations nouvelles avec les participants latino-américains. Avec les artistes latino-américains: Gamarra, Guzman, Krasno, Maza, Netto, Noe, Novoa, Pisa, Ravelo, Tomasello et Vanarsky, Le Parc participe au projet de créer à Paris un espace culture! latino-américain, inauguré en décembre de cette année et qui se donne comme objectif de promouvoir et de diffuser la culture latino-américaine, dans la mesure de ses possibilités. Le Parc développe de nouveaux thèmes de la famille des "Modulations", en mettant l'accent sur la lumière.

 

1981

 

En préparant sa grande exposition rétrospective pour le musée des Beaux-arts de Caracas, Le Parc revient sur ses expériences avec la lumière et sur les jeux. Il approfondit aussi davantage les idées de ses dernières toiles, dans lesquelles la représentation de la lumière devient prépondérante. Le Parc fait équipe avec l'architecte peintre Carrossino pour présenter un projet à la Biennale mondiale d'architecture de Sofia en Bulgarie, sur le thème: "Architecture des sociétés urbanisées". Sur la base de différentes propositions d'interventions, le projet cherche à définir un nouveau comportement social, qui favorise la participation, la relation, la communication, la créativité des gens, à travers une réflexion et une action collectives. L'exposition rétrospective de Le Parc à Caracas comportant plus de 200 œuvres établit une relation ample et directe avec le public. A l'occasion de ce voyage, contacts au Venezuela, en Colombie et à New York. Réalisation d'une exposition historique du GRAV à Macerata, en Italie. Le Parc et 300 autres délégués participant aux "Rencontres d'intellectuels pour la souveraineté des peuples de notre Amérique", en septembre à La Havane. Là, il présente un exposé intitulé : "La valorisation: arme clef de la pénétration culturelle". Le Parc participe aussi aux rencontres sur "Les arts plastiques et l'identité latino-américaine", organisées par le Forum d'art contemporain, dans la ville de Mexico. Il y répond à l'un des exposés du critique Juan Acha et y noue de nouveaux contacts avec le monde des arts plastiques mexicains. Une peinture murale est réalisée à cette occasion, en soutien à la lutte du peuple salvadorien. Réalisation d'une autre peinture murale collective sur le même thème, par la Brigade de peintres antifascistes, avec laquelle l'ACAL participe aux manifestations de rue à Paris.

 

1982

 

Avec un groupe d'artistes latino-américains, Le Parc commence les démarches officielles auprès du ministère français de la Culture, afin de réaliser à Paris (Centre Pompidou), une importante manifestation d'art latino-américain, qui donne une image plus juste de l'Amérique latine. Le Parc apporte son soutien à l'organisation d'une exposition d'artistes latino-américains travaillant en Europe, qui a lieu au musée d'art moderne de Venise. A cette occasion, il est invité à participer à un colloque pour lequel il répond par écrit à une série de questions.

L' Espace latino-américain dont Le Parc fait partie, continue, non sans problèmes, ses activités de diffusion de l'art latino-américain dans son local de Paris; après la disparition de Krasno, son principal animateur. Le Parc participe activement à une restructuration qui va permettre à cet espace de continuer son travail. Les "Droits socialistes de l'homme" appellent un groupe d'artistes, dont Le Parc fait partie, a collaborer au montage d'une énorme exposition d'artistes latino-américains de Paris, au Grand Palais. C'est l'occasion pour eux de démontrer leur créativité et de se connaître mieux les uns les autres. Le Parc rejoins le Comité des artistes du monde contre l'Apartheid.

 

1983

 

Le Parc est invité à participer au colloque "Création et Développement", organisé par le ministère de la Culture français à la Sorbonne. Ce colloque revêt une double importance; de par la quantité et la qualité des participants (400 invités de niveau international, venus des quatre coins du monde et représentant toutes les disciplines artistiques et intellectuelles), d'une part; de par le contexte de crise universelle de l'époque, les thèmes traités et les échanges personnels qui y ont lieu, d'autre part. Le groupe des Latino Américains y souligne l'existence de la culture latino-américaine, indique la vision qu'il faut en avoir et la nécessité de l'apprécier à sa juste valeur pour qu'elle trouve une place qui lui corresponde au niveau international. Le Parc consacre son intervention au problème de la valorisation. Il organise, dans l'Espace latino-américain, une exposition intitulée "Chaîne". Il s'agit d'une chaîne destinée à rechercher de nouveaux systèmes de sélection et a promouvoir la considération mutuelle entre les artistes. Le Parc refuse de participer à l'exposition "Electra" au musée d'art moderne de Paris et rédige un texte qui dénonce l'incorrection des organisateurs. A l'occasion d'une exposition personnelle à Madrid, Le Parc écrit un texte intitulé "Quelques réflexions sur mon travail actuel". Réalisation d'une peinture murale de 150 m2 pour la ville de Fuengirola en Espagne. Le Parc Participe au "Parc de sculptures à l'air libre" de Medellin en Colombie, y réalisant des œuvres monumentales. Le Parc est décoré par Jack Lang, ministre de la Culture français, du titre d'officier de l'ordre des Arts et des Lettres.

 

1984

 

Séjour à Cuba pour le XXe anniversaire de la Maison des Amériques. Participe en tant que juré à la Première Biennale de La Havane Propositions, discussions, nouveaux contacts avec le milieu culturel cubain, réalisation de deux sérigraphies. Voyage à Buenos Aires après onze années d'absence à l'occasion d'une exposition personnelle. Retrouvailles avec un pays qui sort du cauchemar de la dictature militaire, échanges, discussions publiques, contacts nouveaux; une fois rentré, il envoie aux responsables culturels argentins une proposition sur le thème des arts plastiques. Voyage en Colombie pour une série d'expositions, réalisation au Musée Omar Rayo d'une œuvre publique pour Palmira et participation avec d'autres peintres à une expérience de rue avec le public de Roldanillo. A Medellin, il propose un projet d'enquêtes à réaliser par les visiteurs du parc de sculptures. A Lima, au Pérou, projection du montage audiovisuel " Etre artiste aujourd'hui" et table ronde sur ce thème.

 

1985

 

Premier voyage en Equateur à l'occasion d'une exposition personnelle. Rencontre avec le milieu artistique équatorien au travers de dialogues publics et privés. Le Parc participe a l'album d'œuvres graphiques sur la Déclaration universelle des droits de l'homme, en hommage à Frère Bartolomé de Las Casas, présenté au roi d'Espagne, à Madrid. A Carboneras en Espagne, Le Parc monte un atelier personnel et participe a un atelier d'initiation aux arts plastiques. Réalisation d'éditions aux pochoirs pour l'Espagne et l'Italie, dans le petit atelier d'éditions, monté à Cachan (France) par ses deux fils Juancito et Gabriel. Au Cercle des beaux-arts de Madrid, Le Parc dirige un atelier d'art actuel, à la suite duquel une intervention collective a lieu dans le parc de Retiro avec les membres du même atelier. Le Parc prépare son exposition anthologique pour les salles d'exposition de la mairie de Valence. Le Parc participe, à La Havane, aux Deuxièmes Rencontres d'intellectuels pour la souveraineté de notre Amérique, organisé par la Maison des Amériques. Participation au colloque " Dialogue de toutes les Amériques " à New York; il s'agit d'échanges sur des thèmes politiques, économiques et culturels entre créateurs et intellectuels latino-américains et nord-américains.

 

1986

 

Le Cercle des Beaux-Arts de Madrid demande à Le Parc d'organiser son traditionnel et prestigieux "Bal Masqué"; ceci donne lieu à un travail collectif intense auquel participent les membres de l'atelier et qui se termine par l'occupation artistique de tout le bâtiment et par l'organisation de la fête bien sur. Cette expérience vivante a aiguisé l'imagination de tous les participants et débouché sur une fête commune dans une ambiance très créatives. Le Parc poursuit son travail personnel de la série des "Modulations". Il réalise une œuvre en quatre parties et en grand dimension pour l'exposition "Giovani e Maestri" de Rome et deux autres œuvres similaires pour les galeries Rayuela et Juan Gris de Madrid. Après avoir visité l'exposition "Contraste de forme" à Madrid, organisée par les Nord-américains, Le Parc réagit à l'arbitraire de la sélection en publiant un texte dans Cambio 16. Participation à la Biennale de Venise et retrouvailles avec le milieu artistique de cette ville. A l'occasion de la réalisation d'un court-métrage, Le Parc organise une manifestation dans son atelier intitulée "Portes ouvertes" qui inclut, outre une rétrospective de son œuvre, les réalisations des autres membres de sa famille et de jeunes artistes proches de lui. Invité à la Deuxième Biennale de La Havane, Le Parc y dirige pendant un mois un atelier de jeunes créateurs cubains, qui donne lieu à une journée entière d'expériences collectives sur une place de la ville et permet un contact étroit avec un large public populaire. A la suite de quoi il rédige un texte de réflexion sur la biennale en général et sur cette expérience en particulier.

 

1987

 

Le Parc obtient le Grand Prix de 20 000 dollars de la Première Biennale d'art américain qui a lieu dans la ville de Cuenca en Equateur. Le Parc offre une partie de cette somme au peuple nicaraguayen en la personne de son vice-président, l'écrivain Sergio Ramirez, et à la Deuxième Biennale de Cuenca pour qu'elle attribue deux prix, un pour un jeune artiste équatorien et un autre pour un Latino Américain. Dans le cadre de ses activités artistiques, Le Parc réalise un autre voyage dans quelques villes latino-américaines (Quito, Cuenca, Bogota, Medellin, Panama, Santiago de Chile, Mendoza, Buenos Aires). Au travers de diverses réunions, discussions publiques et privées, il renforce ses liens avec les créateurs latino-américains et pénètre les réalités de ces pays particulièrement au niveau artistique. Le Parc continue de participer à la croissance de l'Espace latino-américain de Paris en y incorporant de jeunes artistes. A la fin de l'année, naît sa première petite-fille, Luna Luz, la fille de Juancito et d'Ely.

 

1988

 

Le Parc est invité au congres de l'UNEAC à La Havane. Il y assiste avec beaucoup d'intérêt et profite du climat de changements et de propositions pour y faire une petite intervention critique et constructive à la fois. En développant la thématique des "Modulations", Le Parc aborde une nouvelle série sous le titre générique de "Alchimies ". Il consacre plusieurs mois de l'année 1988 à la préparation de sa grande exposition rétrospective "Le Parc & Le Parc", avec la participation artistique de sa famille, il résume 30 ans d'expérience dans les Salles Nationales de la direction des arts visuels du Secrétariat à la Culture de la Nation Argentine. Ce sera l'occasion de retrouvailles avec son pays et son milieu culturel. A cette occasion, Le Parc réalise un spectacle pyrotechnique sur l'avenue 9 de Julio et dans les jardins de la Recoleta sur une musique d'Astor Piazzolla.

 

1989

 

Le Parc prolonge son séjour (six mois au total) en Argentine, voyage en Uruguay, Chili et Mendoza pour y organiser la présentation de son exposition rétrospective. Il visite le nord de l'Argentine. Il est fait citoyen illustre de sa ville natale de Mendoza ou il présente son exposition rétrospective ce qui lui donne l'occasion de dialoguer avec les habitants de la ville. Il accompagne son exposition rétrospective au Chili et la dédie à Pablo Neruda et au peuple chilien. C'est l'occasion de diverses rencontres et de tables rondes. Invité d'honneur de la Deuxième Biennale de Cuenca en Equateur, Le Parc y réalise deux installations lumineuses. A Buenos Aires, Gabriel Le Parc réalise un film sur l'œuvre de Julio Le Parc.

 

1990

 

Le Parc continue à développer la thématique de la série "Alchimies" en faisant une première présentation à la galerie Rayuela de Madrid. Il se rend dans différentes villes d'Europe pour y présenter ses expositions personnelles (Genova, Palazzolo, Milan, Venise, Bilbao, etc.). Le Parc travaille sur un projet d'œuvre publique pour le "Jardin de la mémoire", de Zaragoza.

 

1991

 

La collaboration avec l'Espace latino-américain continue. Tous ses membres essaient de le restructurer pour assurer sa survie. Le Parc travaille sur les projets d'agrandissement de la maison-atelier de Carboneras.

 

1992

 

Nouveau voyage à Buenos Aires motivé par une exposition personnelle. Le Parc visite la Fondation Maeght à Saint-Paul-de Vence lors de l'exposition "L'Art en mouvement". Dans le cadre de la Foire internationale de Séville, Le Parc installe une salle de travaux de lumières dans l'exposition "Artistes latino-américains du XXe siècle " puis, plus tard, une autre au Centre Pompidou, lors de l'exposition "Art d'Amérique latine 1911-1968".

 

1993

 

Les membres de l'Espace latino-américain de Paris se rendent comptent que leurs efforts ne mènent nulle part et décident collectivement d'en finir avec cette expérience commencée en 1980. Ils organisent donc une fête-exposition, à laquelle ils invitent tous les artistes latino-américains de Paris. Le Parc part à New York pour y présenter sa salle de lumière à l'exposition " Les artistes latino-américains du vingtième siècle ", au musée d'art moderne de New York. Le Parc prépare une série de projets intégrant le mouvement et la lumière pour " Schadow arkaden" de Düsseldorf.

Le Parc anime un " atelier " (table ronde avec la participation de critiques, d'artistes et de philosophes) au Collège international de philosophie de Paris.

Le 20 février, naissance de Mateo, le second petit-enfant de Le Parc.

 

1994

 

Le Parc consacre beaucoup de temps à chercher des solutions pour améliorer, rénover et agrandir son atelier de Cachan. Il confectionne même une maquette détaillée de la solution idéale.

Pendant ce temps-là, l'idée de faire un livre sur son œuvre se précise et il se lance dans le fastidieux travail de recherche des textes, documents et photos qui serviront à réaliser une première maquette.

Réalisation de l'un de ses projets pour le "Schadow-Arcaden", de Düsseldorf.

 

1995

 

Le Parc restaure un ensemble de ses œuvres de lumière, particulièrement celles des années 60, en vue d'une exposition rétrospective à l'espace Brenne, dans le centre de la France, sous le titre " Les années lumières". Mais ce qui l'occupe le plus en ce début 95, c'est le projet de livre en français sur sa vie et son œuvre. Le Parc passe en revue ses longues années de travail. Pour la première fois, sa projection vers le futur s'arrête au profit d'un retour sur lui-même Au gré des anciennes photos et documents, en relisant ses textes, des pans entiers de sa vie refont surface. La nostalgie affleure mais cela lui permet de tout redécouvrir d'un œil neuf, de tout repenser aussi Son désir le plus cher: que ce livre qui résumera sa vie et son travail obstiné révèle le sens profond de sa démarche.

 

 

 

 

 

 

 

 

1928

 

Born the second son of a low-class family –his father was a railway worker; Julio Le Parc was born on September 23rd 1928 in the town of Mendoza, Mendoza state, located at the foot of the Andean Cordillera, 1100 kilometers west of Buenos Aires, Argentina’s capital city. He spent his childhood in Mendoza and started school there. Overall a mediocre student, he was however gifted at sketching celebrities portraits and illustrated cards.

He started to work on and off from age 13, as a delivery boy, as an apprentice in a bike’s repairs shop, even as a fruit packer in a factory…

 

1942

 

He settles down in Buenos Aires along with his mother and brothers. He was working in the day as an apprentice at a fine leather goods manufactory, and studying at night to prepare the School of Fine Arts, admission exam/test.

1943-1946

He takes evening classes at the School of Fine Arts and still work during the day.

First he worked in a fine leather goods manufactory, then at a library, and eventually at a steel factory. First experiences with the “Beaux-Arts” students’ activist group, meetings, claims…

 

Le Parc shows an interest in artistic avant-gardes movements in Argentina.

Arts concrete expression movement, spatial art movement initiated by Fontana, one of his teachers.

 

1947-1953

 

After studying four and a half years plus two and a half years yet again to get his degree, he leaves the Fine Arts Academy in a total and confused rebellion against submission and obedience.

He also quits his job and stops seeing his family.

He becomes somewhat marginal, meets with anarchists and Marxists, and tries to comprehend his problems in a different way. He wanders abound the country, getting some odd job as a construction or steel worker.

Aware of being an outsider, he returns to society, works as a concierge at an official theater, joins an independent experimental theater company, and takes as a free candidate the admission test to the Fine Arts Superior School, which he gets the second time around.

 

1955

 

He goes back to the Fine-Arts Academy, and plays an active part in the students’ activist groups. Numerous meetings, ground occupation of the three Arts Schools, expulsion of the school’s principals…

Students are now ruling the schools cutting out all discipline’s rules and regulations. They categorize the teachers: Good, Bad, or Unwanted, start an open doors policy, come up with alternative learning methods, get in touch with young avant-gardes artists, set up demonstrations, get arrested…

He meets Martha.

 

1956-1958

 

While painting, engraving, and creating monotypes, Le Parc and his crowd think about their future and decide to travel to Paris, artistic center, to see through their own eyes all that is happening there, no longer willing to make it with the distorted image available in Buenos Aires. After successfully passing an exam, he is awarded a scholarship by the French Cultural Department, allowing him to make the trip to Paris… He gets there on November 4th, 1958. Sobrino arrives shortly after, and then the others follow.

 

1959

 

Together they study the work of contemporary and avant-gardes artists, pointing out inconsistencies and limits to rise above. That is how, at the beginning of the year, differences between Vasarely and Le Parc and Sobrino’s artistic approach came to light: Le Parc and Sobrino work in a systematic way on a sequential and progressive basis to obtain optical results. They criticize in a constructive way all artists using free forms and free locations in space and surface. These criticisms are specifically intended for constructivist or kinetic artists. Contacts with Denise René, Vasarely, Vantongerloo, Morellet…

Visual research on the surface. Regular progression of problems. Homogeneity of shapes and shapes links. Progressive sequences of shapes, positions, colors… Post-imaging problems… Visual instability. Plan’s breakdown in four overlays, shaping a cube. First trials of image-light envisioned in deepness through Plexiglas layers.

Martha joins him in Paris.

 

1960

 

Creation of the “GRAV” (Visual Arts Research Group) which concretizes, shapes, organizes and encourages sharing experiences and ideas. The foundation guidelines is signed by: Demarco, Garcia Miranda, Garcia Rossi, Le Parc, Molnar, Morellet, Moyano, Servanes, Sobrino, Stein, Yvaral.The first collective texts. Staging of experiences, debates… Birth of his first son: Juancito.

Personal experiences with the light. Small light boxes which can be activated to create image and colors variations. First white on white and transparent on white mobiles, ceiling’s

mobiles… First studies on indirect light gently brushing the surface, also on light reflecting on curved and uneven screens. First wooden inlays with progressive levels and rotations.

 

1961

 

First text by the GRAV: “Proposals about movement” and, during the Paris Biennales, distribution of a leaflet titled: “No more mystifications” - also handed out at the artists workshop -, meetings, talks, publishing of the text: “General proposals”, signed by Garcia Rossi, Le Parc, Morellet, Sobrino, Stein, Yvaral.

Personal experiences on image-light in depth with accidental alterations.

 

1962

 

First exhibition, surveys, public debates. Travels and meetings with group “N” from Padua and group “T” from Milan members, and with others artists, all doing similar work. Among them: Enzo Mari, Von Graevenitz, and the reviewer Maestrovitch. Their meetings and conversations lead to the concept of “The New Wave” as an international movement.

GRAV’s involvement with “Arte programmata” exhibition in Italy. Travel to New-York for its first US exhibition.

Personal text: “Art as a show”. Meetings with other South-Americans during the “Latino-American Art in Paris” exhibition.

Personal experiences with light and mobiles inside a translucent cube and animation of a room with a moving flash of light directed towards the walls, floor, and ceiling. Visualization of moving rays of light. Experiences with light brushing on a reflective cylinder.

 

1963

 

Various displays from the GRAV titled: “Instability”.

Showing of their first labyrinth at the Paris Biennales. Le Parc attends the Art Critics International Congress in Rimini, where he presents “Proposal for an activation place” and a new text titled “No more mystifications”. Trip to Zagreb for the “Nove Tendencije” (New Tendency) exhibition, meeting with nearly all the exhibitors, conversations and organization of NT as an international group. Birth of his second son: Gabriel.

Personal experiences: addition of external elements to his works, propositions of labyrinths, journeys experiences, difficult moments, and first games. Working on outsized pieces. (Biennale de Paris)

 

1964

 

The “New Tendency” artists meet to organize an important happening in Paris, during which Le Parc, Morellet, and Stein will build a labyrinth. The GRAV is asked to work on “A day in the street”.

Trip to Argentina and Brazil for the GRAV exhibitions on “Instability”, meetings, debates, discussions…

On a personal level, development of ideas for labyrinths, pathways, elements to be manipulated, evolution of three dimensional works with incurved reflectors.

1965

With the group, completion of “Third labyrinth” in New-York. Publication of “Stop-Art”

Setting up - for the GRAV, at the Paris Biennale - an interactive playroom where people play an active part in all happenings.

By him, development of various themes games, moving mirrors, playrooms elements, unexpected moves, shoes to walk in a different way, eyeglasses to see differently…

Birth of his third son: Yamil

 

1966

 

First personal exhibition (Howard Wise Gallery, New-York); with the group: a Paris experience titled “A day in the street” starting at 8 in the morning to finish only at midnight even though the Police tried to put an end to it. This experience, programmed in 1964, was to show various elements, grouped or not, that would create different situations every two hours, and this, in different Paris locations. A flyer –from the GRAV- was handed out, also a map with a listing of the day’s activities, and a survey.

At the Biennale of Venice, an entire room is made available for Le Parc’s works. Le Parc is the winner of the International Grand Prix of Painting. Le Parc‘s interview in the magazine: ROHBO GRAV’s text about the “Multiples” theme, first solo exhibition in Paris, Denise Rene Gallery, Left Bank and Right Bank; making and showing the “multiples”. Group’s participation to the show “Kunst Licht Kunst” in Eindhoven. It’s a labyrinth in which light is used to seek the viewer’s involvement.

Personally, works further on settings with unexpected moves. Trials of intermittent light, of mirrors series, of elements for “A day in the street”, of multiples.

 

1967

 

Second trip to South-America for retrospect’s shows. Meetings, debates, sharing of ideas, discussions, statements, interviews…

The making of “Anti-Automobile”. Making with GRAV of “Journey at variable volume”, in Paris.

On his own, themes development on intermittent light, ambiances, distortions, see-through walls with reflectors… Work on the text “Cultural Guerilla”. Le Parc is made Knight of the Arts and Literature’s order by Andre Malraux, French minister of Culture.

Publication of “Cultural Guerilla” in ROBHO. Important Grav‘s show in Dortmund – Germany - entitled “Seeking a new spectator”, with a big playroom and a street exit with game elements and the “Anti-Automobile”. Together with the group, collective work: one is “Variations on hiking”, in Buffalo, another one, in Saint-Paul-de-Vence, “Penetrable work”, and another one again, in Grenoble, using the movement of mobiles set off by a revolving stage. In these collective works, spectators always are a prime element and they are the ones making sense of whatever is put before them. The group finishes a book project on its activities, thoughts, texts, works…

 

1968

 

MAY 68 Big general clash in France. Popular bills workshop. Le Parc is expelled from France, along others, he travels around several European countries, with Enzo Mari, and he sends a telegram to “Documenta” to withdraw his participation. Five months later, his eviction sentence is suspended, thanks to numerous actions and demands from the cultural circles, and Le Parc comes back to Paris. Dissolution of the GRAV. Texts of analyze, text “To demystify arts” Analyses and discussions about artist’s behavior.

 

1969

 

Transition year, collective reflections, unmade collective projects. Preparation of “Informal South-America “, boycott of Sao Paulo’s Biennale. Public meetings. International campaign to mobilize artists, various interventions among cultural circles…

First “survey-game”: “Reverse the myths” Realization of cells in which the light, vibrating and moving, bathe the spectator.

Le Parc goes back to his 1959 experiments with colors adding codification and development.

 

1970

 

Le Parc moves out of his Parisian workshop to Cachan, in the suburbs. Trip to Puerto-Rico for the “first American Biennale of gravures”, there, collective statement in favor of the struggles and liberation of the Latin-American people. Live statement on TV in Puerto-Rico. Trip to Cuba, participation to a conference in La Havana about: “The social function of Arts in contemporary society”. Discovery and contacts with the Cuban revolutionary reality, analyses and talks with intellectuals and artists to try and find a new attitude.

Personal text of Le Parc on his conclusions following this conference.

Collective work: “Informal Latin-America”, in Paris, big demonstration against official information through a visual journey, debates, meetings.

Trip to Columbia for the Medellin Biennale, surveys-games, general survey, debates, meetings, collective statements about South-America.

Survey-games and color themes developments. Text: “Color 1959”.

Second trip to Cuba. Big exhibition at the “House of Americas”, survey, public and private meetings, attempt to set up an experimental team working in collaboration with the people.

 

1971

 

Collective outdoors experiment with Morellet, Stein, Boriani, Colombo, and De Vecchi in Milano. Text to answer Enzo Mari’s questions. Third survey-game. Participation to the organization of a Latin-Americans artists gathering in Paris, meetings, discussions, projects. Dissensions within the cultural crowd. Collective work: “Diary of a miner’s widow”. Artist’s mobilization and creation of FAP (Front of Fine Arts).

 

1972

 

Important retrospective exhibition at the Kunsthalie in Dusseldorf, with several

rooms, notably one for games with visitors’ interaction; surveys, games-surveys, the making of an experiment with Fromanger and Merri Jolivet, about postcards.

Publication, for this exhibition, of an important catalog in which these experiments are studied, gathering essential texts and information.

Campaign with the FAP against Pompidou exhibition, artist’s mobilization, texts, statements…

Le Parc decides against participating to this show, as an individual as well as a former GRAV’s member.

Le Parc questions an offer for him to present an important retrospective show in Paris. He writes a paper about it and during a meeting at the Modern Art Museum takes a chance decision, playing it head or tails… and says no to this offer.

Collective work: “Torture” with the group Denuncia. Le Parc attends the first meetings of the South-Americans Fine Arts at the House of Americas in Havana; analyzes, discussions, agreements, shows, statements, appeals…

 

1973

 

Trip to Argentina. Contact with the reality hopeful people who believe they found the way to their liberation. There, contacts with cultural groups, discussions, artists mobilization, projects…

Show in New-York. His own work only. But Le Parc cannot attend since he is denied a visa by the US government. Le Parc goes to Havana for the “Second meeting of the South-American Fine Arts” at the House of Americas where an evaluation of actions and possibilities in this field is being made. During an exhibition at the Fine Arts Museum, a collective statement is written up; the attendants dedicate a day to Salvador Allende: each one of them will complete a painting in public.

As an Arts Institute professor, Le Parc teams up with students and, together, they complete several collective works, including one on work concept.

 

1974

 

Development of solidarity works with the Chilean people through “Viva Chile”

Collective work with arts students. Completion of a mural about color waves theme and The Long Walk in the new Renault factory.

Development of colors experiments on the 14 colors basis and on the waves themes, of virtual volumes, and of The Long Walk. Text about the FAP.

First essays about modulations theme.

 

1975

 

Le Parc joins the “Anti-Fascists Painters Group”. He participates by his analysis and his statements and also by joining a collective creation: “A world to destroy-a world to build”. Trip to Venice and foundation of the International Brigade of the anti-fascists painters, discussions, analysis, agreements and completion of collective work in Venice harbor first, then another one in Athens.

Themes development under the generic title “Modulations” with aerographic technique and specifically, grey, white and black variations.

Beginning of artist’s mobilization around the new Georges Pompidou National Art Center.

 

1976

 

Work by the International Brigade in Paris, common banner for the Anti-Fascists painters, for the May 1st demonstration, the theme is the new Pompidou Art Center.

Artists’ mobilization concerning problems caused by the opening of this new center continues.

Discussions, meetings, demands… Text dialogue with Maurice Mathieu in the magazine “16 Lille Street” Le Parc prepare and complete a jacket for a book to be published by La Coruna, gathering a lot of information on his research work, his statements, his writings, his collective works.

 

1977

 

Continuous artists’ mobilization against the Beaubourg Center, 1000 artists meets in Créteil. International Brigade’s collective work at the Nancy’s festival. Preparation and creation of SNAP (Fine Arts Artists National Union). SNAP joins the CGT.

Elaboration of an editing system with stencil and aerograph.

Themes development for the publishing of the “Modulations”. Preparation for a personal show in Madrid.

 

1978

 

Around his retrospective exhibition in Madrid: public survey for work donation, round-table conference with the Spanish Artists Association, and writing by Le Parc:

“The artist in his contemporary social environment”. In his retrospective exhibitions at the Balboa Museum and at the Miro Foundation in Barcelona: conversations, discussions and reflections with art students and artists. Publishing of a book on Le Parc by Guadalimar publishers in Madrid. In Aix-en-Provence, Le Parc gives a talk-debate at the Arts School and takes care of the coordination of a students group for a collective work of public intervention and participation in the street. Completion of a mural in a Villeparisis’s street, with the Anti-Fascists Painters International Brigade. Le Parc goes to the “First Spanish-American meetings of Arts Reviewers and Artists” in Caracas. Debates and conversations about the problematic of South-American art. Le Parc gives a talk titled “Interrogations”. Completion, with the Painters Brigade, of a mural dedicated to the struggle of the Nicaraguans.

The London BBC makes a movie about Le Parc and his works. To rise to the occasion, Le Parc comes up with the idea of visualizing the artist’s problems in society, by a series of scenes, with cut-out decoration and characters, this made into an audio-visual montage of slides becoming a film montage.

 

1979

 

Le Parc participates to the “South-American and Caribbean plastic arts meetings” held at the House of Americas – Havana, Cuba-. He is confronted once more to the Cuban reality and to the evolution of the Plastic Arts problematic, positive exchanges. He gives a series of conferences on the creativity, the valorization, and the marketing of the Cuban artistic production. While in Montesquiu, he presents his audio-visual montage: “The other face of art, the artist and his social environment” to young Spanish artists. Le Parc sets up a series of exhibitions, showing his own work only, in Venezuela and in Peru, meeting along the way with artists and art students, round-tables, conferences, and exchanges around his audio-visual montage.

Development of different themes from the “Modulations” family, with more freedom and the addition of color. He resumes his contacts with Italy: meetings, travels and exhibitions.

 

1980

 

Le Parc goes to the “South-American week” in Roma; meetings and exchanges with South-Americans artists, poets, writers, musicians and cineastes. Elverio Maurizi writes a book on Le Parc: “The light modulation” (Modulazione della luce), published by Macerata, relative to a personal Le Parc’s exhibition with debates.

Le Parc’s intervention at the Architecture Faculty in Nantes, France. In Paris, along with South-Americans writers, musicians, artists, and intellectuals, Le Parc participates to the establishment of the Association for culture in South-American cultural days in Sofia –Bulgaria-, organized in collaboration with the House of Americas in Cuba. Meetings and exchanges with Bulgarian artists, writers, architects, and new relations with the South-Americans participants. With the artists Gamarra, Guzman, Krasno, Maza, Netto, Noe, Novoa, Pisa, Ravelo, Tomasello, and Vanarsky, Le Parc contributes to a new project: to open in Paris a Latino-American cultural center. It will be open in December of the same year (1980)

The purpose is to promote and divulge Latino-American culture, according to its possibilities. Le Parc develops new themes around the “Modulations” family, putting emphasis on light.

 

1981

 

Preparing his big retrospective exhibition for the Caracas Fine Arts Museum, Le Parc comes back to his experiments with light and games. He also deepens his latest paintings concept, where light depiction becomes essential.

Le Parc teams up with the architect-painter Carrossino to present a project before the International Biennale of Architecture in Sofia –Bulgaria-, around the theme: “Urban civilizations’ architecture”. From various propositions of interventions, this project is trying to define a new social behavior, favoring people’s participation, relation, communication, and creativity, through collective reflection and action. Le Parc retrospect show in Caracas with over 200 artworks establishes a direct relationship with its public. During this trip, contacts in Venezuela, in Colombia, and New-York. Set-up of a GRAV historic show in Macerata, Italy. Le Parc and 300 delegates participate to the “Meetings of intellectuals favoring the sovereignty the people of our America”, in September, -Havana-. There, he gives a presentation titled: “Valuation: key-weapon to spread out culture” Le Parc also takes part in the meetings about “Fine Arts and the Latino-American identity”, set up in Mexico city by the Modern Arts Forum. There, he replies to one of the talks given by the reviewer Juan Acha and make new contacts with the Mexican Fine Arts crowd. A mural is made for this happening to support the Salvadorian people struggle. The anti-fascists painters Brigade completes another one, along the same theme, which ACLA will display during streets demonstrations in Paris.

 

1982

 

With a group of South-Americans artists, Le Parc formally requests that the French Cultural Affairs Department allows an important Latin-American art display in Paris (Pompidou Center) to give a more accurate image of South-America. Le Parc supports the organization of an exhibition by South-Americans artists working in Europe, taking place at the Modern Arts Museum in Venice. For this occasion, he is invited to participate to a symposium for which he answers in writing a series of questions. The Latino-American group (of which Le Parc is a member), tries and continues –from its Paris office-, to promote the Latino-American art even after the death of Krasno who was its most important leader. Le Parc actively participates in a reorganization to allow this group to go on working. The “Socialist human rights” invites some artists –among them: Le Parc- to help coordinating a huge exhibition, at the Grand Palais, to show the work of Latin-Americans artists living in Paris. This is their opportunity to show their creativity and get to know each others better. Le Parc joins the Artists International Union against Apartheid.

 

1983

 

Le Parc is invited to the “Creativity and Development” symposium, set up by the French Department of Cultural Affairs at the Sorbonne. This symposium is doubly important: first because of the attendants quantity and quality (400 guests from all over the world covering all artistic and intellectual medias) and second because of its themes and personal exchanges. The Latino-Americans promote their culture; show how it should be looked at, and how necessary it is to appreciate it for its true value so that it will be internationally recognized. Le Parc focuses his talk on the valorization problem. He sets up an exhibition titled: “Link” to search for new selective systems and promotes reciprocal respect among artists. Le Parc declines an invitation to the “Electra” exhibition at the Paris Modern Arts Museum and writes a paper denouncing the organizers unethical ways. For his Madrid show, Le Parc writes a paper titled “Some thoughts about my present work”. Completion of a 150m2 mural for the Spanish town of Fuengirola. Le Parc contributes to the “Outdoors sculptures park” of Medellin –Colombia- by making monumental pieces. Le Parc is decorated by Jack Lang, the French Culture Minister, thus becoming officer of the Arts and Literature order.

 

1984

 

Trip to Cuba for the House of Americas’ twentieth anniversary. He sits as a member of the jury at the First Biennale in Havana. Proposals, discussions, new contacts with the Cuban culture, completion of two serigraphy. Travel to Buenos Aires after being away eleven years for a personal show. Reunion with a country just out of a nightmarish military dictatorship, exchanges, public’s discussions, new contacts: once back in France he sends to the Argentine officials a proposal on the theme of Plastic Arts. Trip to Colombia for several exhibitions, completion of a public work for Palmira at the Omar Rayo Museum and participation with other painters to a street experience with the Roldanillo people. In Medellin, he proposes a surveys project to be done by the sculptures park visitors. In Lima –Peru-, projection of the audio-visual montage “Being an artist today” and roundtable on this theme.

 

1985

 

First trip to Ecuador for an exhibition of his work. Meetings with the Ecuadorian artistic crowd through publics and private conversations. Le Parc participates to a graphic album about the Universal Human Rights Declaration, to honor Brother Bartolome de las Casas, presented to the King of Spain in Madrid. In Carboneras –Spain-, Le Parc sets up his own workshop and participates to a Plastic Arts beginner’s workshop. Stencil editions (of this album) for Spain and Italy made in a small workshop that his sons Juancito and Gabriel opened in Cachan –France-. At the Fine Arts Circle of Madrid, Le Parc manages an art workshop, and sets up with all its members a collective intervention in the Del Retiro Park.

Le Parc prepares his anthological exhibition to be displayed at the Valence –Spain- city hall. Le Parc participates, in Havana, to the Second Meetings of Intellectuals for our America sovereignty, set up by the House of Americas. Participation to a symposium: “Dialogue of all the Americas” in New-York It is a political, economic, and cultural exchange between Latin-Americans and North-Americans creators and intellectuals.

 

1986

 

The Madrid Fine Arts Circle asks Le Parc to organize his traditional and prestigious “Masquerade Ball”, which leads to an intense collective work with the workshop members and ends with the artistic occupancy of the entire building and, of course, with the festivities organization. This live experiment galvanized the imagination of all participants and the outcome is a party full of creativity. Le Parc pursues his own research around the “Modulations”. He comes up with a four parts work in a big format for the show “Giovani e Maestri” in Rome and with two more similar works for the Madrid galleries “Rayuela” and “Juan Gris”. After seeing the “Contrast of shape” show in Madrid, set up by North-Americans only, Le Parc reacts to this random selection and publishes a text in Cambio 16. Participation to the Venice Biennale and reunion with artists and arts lovers. For the shooting a short film, Le Parc sets up in his workshop an “Open Doors” event including a retrospective of his work as well as renderings by his family members and other artists. Invited to the Second Biennale in Havana, Le Parc manages during one month a workshop of young Cubans creators, leading to a whole day of collective experiments in a square of the city and allowing close contact with the public. Afterwards, he writes a text summarizing his thoughts about the Biennale and this particular experience.

 

1987

 

Le Parc is the award winner of the Great Prize –USD 20.000- of the First American Art Biennale taking place in Cuenca, Ecuador. Le Parc gives part of this award to the people of Nicaragua, through the vice-president, the writer Sergio Ramirez, and to the Second Biennale of Cuenca, to be distributed to a young Ecuadorian artist and to a Latin-American artist. Pursuing his artistic activities, Le Parc travels to a few South-American cities (Quito, Cuenca, Bogota, Medellin, Panama, Santiago de Chile, Mendoza, and Buenos Aires). Through various meetings, public and private discussions, he gets closer to the Latino-Americans creators, and go deeply into the reality of these country specifically at an artistic level. Le Parc is still involved with the Latin-American association in Paris where he welcomes young artists. By the end of the year, his first grand daughter, Luna Luz –daughter of Juancito and Ely – is born.

 

1988

 

Le Parc is invited to the UNEAC congress in Havana. He attends attentively and takes advantage of this moment of changes and proposals to give a brief but altogether critique and constructive. Adding to the “Modulations” thematic, Le Parc starts on a new series under the generic title “Alchemies”. For several months in 1988, he prepares his great retrospective show “Le Parc and Le Parc”, with his family artistic participation, he summarizes a 30 years experience in the National Rooms of the board of visual arts of the Secretariat to the Culture of Argentina. It will be a reunion with his country and his cultural background. To this occasion, Le Parc sets up a pyrotechnic show Avenue 9 de Julio and in the Recoleta gardens, music by Astor Piazzola.

 

1989

 

Le Parc stays longer in Argentina (6 months), travels to Uruguay, Chile and Mendoza to organize the presentation of his retrospective exhibition. He visits the Northern part of Argentina. He is made famous citizen of his hometown, Mendoza, where he presents his retrospective show and doing so he meets and talks to the residents. He takes his show to Chile and dedicates it to Pablo Neruda and the Chilean people. He attends several meetings and roundtables. Guest of honor at the Second Biennale at Cuenca –Ecuador-,

Le Parc completes two luminous installations. In Buenos Aires, Gabriel Le Parc shoots a movie about Julio Le Parc work.

Le Parc continues to develop the thematic of the “Alchemies” series showing it first at the Rayuela gallery in Madrid. He travels to several European cities to presents his shows (Geneva, Palazzolo s/o, Milan, Venice, Balboa…) Le Parc works on a public artistic project for the “Memory Garden” of Zaragoza.

 

1991

 

The collaboration with the Latino-American association goes on. All the members try to reorganize it to ensure its survival.

Le Parc works on the expansion project of Carboneras house-workshop.

 

1992

 

Another trip to Buenos Aires, for a solo exhibition. Le Parc visits the Maeght foundation in Saint-Paul-de-Vance during the show: “Art in motion. During the Seville International Fair, Le Parc installs a room of light works at the show: “Latin-Americans artists of the twentieth century” then, later on, another one at the Pompidou Center, during the show: “South-American art 1911-1968”

 

1993

 

The members of the Latin-American association of Paris realize that their efforts are going nowhere and they all agree to end this experience started in 1980. So they organize a show-party to which they invite all the Latin-Americans artists of Paris. Le Parc leaves for New-York to present his room of light at the show: “Latin-Americans artists of the twentieth century” at the Modern Art Museum of New-York. Le Parc prepares a series of projects integrating light and movement for “Schadow arkaden” of Dusseldorf.

Le Parc animates a workshop (round table with the participation of reviewers, artists, and philosophers) at the International College of philosophy, Paris.

On February 20th, birth of Mateo, Le Parc’s second grand son.

 

1994

 

Le Parc spends a lot of time trying to find ways to improve, renovate, and widen his workshop in Cachan. He even makes a detailed model of the ideal solution. Back then, the thought of writing a book about his work tackles his interest and he begins the fastidious task of sorting out the texts, documents and pictures which will be the first draft.

Completion of one of his projects for the “Schadow-Arkaden” of Dusseldorf.

 

1995

 

Le Parc restores a set of his works of lights, specifically those of the sixties, for a retrospective exhibition in Brenne –central France- titled “The light-years”. But his first concern at the beginning of 1995 is his book project in French about his life and his work. Le Parc reviews his long working years. For the first time, he is not geared towards the future but centered on himself. Studying old pictures and documents, re-reading his texts, entire phases of his life are reenacted. Nostalgia is here but also the pleasure of seeing it all again before his eyes, of re-thinking it all, thus his heartfelt desire: may this book by relating his life and his obstinate work reveal the profound meaning of his approach.

 

 

 

 

1942

 

Se instala con su madre y hermanos en Buenos Aires. Aprendiz obrero en una fábrica de marroquinería, se prepara por la noche para pasar el examen de ingreso en la Escuela de Bellas Artes.

 

1943

 

Bellas Artes, curso nocturno. Durante el día trabaja.

 

1947

 

Después de cuatro años y medio de estudios y dos años y medio antes de obtener el diploma, el abandona la Escuela de Bellas Artes. Es un rechazo general y confuso a la sumisión y a la obediencia. Abandona igualmente su trabajo y rompe con su familia. Vive un poco al margen, frecuenta a anarquistas y marxistas, y trata de analizar sus problemas desde un ángulo diferente. Como vagabundo viaja al interior del país. Trabajando de tiempo en tiempo como albañil o como obrero en talleres metalúrgicos. En la marroquinería, más tarde en una librería y luego en una fábrica metalúrgica. Primeras experiencias con el movimiento de estudiantes de Bellas Artes, asambleas, reivindicaciones, etc. Le Parc se interesa en los movimientos artísticos de vanguardia en Argentina: Movimiento de arte-concreto-invención, movimiento especialista animado por Fontana, profesor de Bellas Artes.

 

1954

 

Consciente de su situación marginal, se reintegra a la sociedad, obtiene un puesto de portero en un teatro oficial, entra en un grupo de teatro experimental independiente, hace un examen por libre de admisión en la Escuela Superior de Bellas Artes, es rechazado primero y admitido luego.

 

1955

 

Vuelve a la Academia de Bellas Artes. Movimientos de estudiantes en los que él participa activamente. Numerosas asambleas, ocupación de las tres escuelas de Bellas Artes, de las cuales los directores son puestos en la puerta. Los estudiantes toman la dirección de las escuelas ocupadas, anulan las reglamentaciones disciplinarias, clasifican los profesores en buenos, malos o indeseables, practican una política de puertas abiertas, proyectan nuevos planes de estudio, llaman a los jóvenes artistas de vanguardia, organizan manifestaciones en la calle, son detenidos, etc. Conoce a Martha.

 

1958

 

Le Parc y otros camaradas analizan sus problemas como futuros "artistas" y es así como decide viajar a París, centro artístico, a fin de romper la dependencia que los ata y ver con sus propios ojos lo que se produce allí en realidad y no los reflejos deformados que llegaban a Buenos Aires. Se presenta a un concurso y obtiene una beca del Servicio Cultural Francés, lo cual le permite partir a París, donde llega el 4 de noviembre de 1958. Sobrino llega un poco después y luego otros amigos artistas.

 

1959

 

Con ellos Le Parc analiza las obras de los artistas contemporáneos y de vanguardia, precisando las contradicciones y los limites a superar. Así al comienzo de ese año se precisan las diferencias entre la obra de Vasarely y las experiencias de Le Parc y de Sobrino, que trabajan de una manera sistemática, tomando por base secuencias y progresiones para obtener resultados ópticos. Así, ellos critican constructivamente la actitud de los artistas que utilizan la elección libre de formas y su libre ubicación en la superficie y en el espacio. Estas críticas tocan principalmente a los artistas de la tendencia constructivista o cinética de la época. Contactos con Denise René, con Vaserely, Vantongerloo, Morellet, etc.

Investigaciones visuales sobre la superficie. Problemas de ordenaciones regulares. Homogeneidad de formas y homogeneidad de relaciones de formas. Secuencias progresivas de formas, de posiciones, de colores, etc. Problemas de post-imagen. Inestabilidad visual. Descomposición del plano en cuatro planos superpuestos, en forma de curso. Primeros ensayos con imágenes-luz multiplicada por planos de plexiglás en profundidad. Martha viene a París.

 

1960

 

Fundación del GRAV (Grupo de Investigación de Arte Visual) que concreta, da forma, organiza y desarrolla la confrontación de experiencias e ideas. Acta de fundación firmada por: DEMARCO - GARCÍA MIRANDA - GARCÍA ROSSI - LE PARC - MOLNAR - MORELLET - MOYANO - SERVANES - SOBRINO - STEIN - YVARAL. Primeros textos colectivos. Presentación de experiencias, debates. Nace su primer hijo: Juancito.

Experiencias personales con la luz. Pequeñas cajas de luz con movimiento manual para producir cambios de imágenes y de color. Primeros móviles; blanco sobre blanco, transparente sobre blanco, equiprobabilidad de negro sobre blanco, móviles en el techo. Primeras investigaciones con la luz indirecta y rasante sobre el plano y en pantallas curvas y accidentadas. Primeros relieves en madera con progresiones de niveles, de rotación, etc.

 

1961

 

Texto del GRAV, "Proposiciones sobre el movimiento" y con ocasión de la Bienal de París, distribución del volante: "Basta de mitificaciones"; segunda presentación en el taller de grupo, encuentros, discusiones, publica­ción del texto: "Proposiciones generales", firmado por: GARCÍA ROSSI - LE PARC - MORELLET - SOBRINO - STEIN - YVARAL. Experiencias personales sobre el color-luz en profundidad con cambios aleatorios.

 

1962

 

Primera exposición del grupo, encuestas, debates públicos. Viajes y encuentros de miembros del grupo "N" de Padua, del grupo "T" de Milán y otros artistas, que realizan investigaciones paralelas a las del GRAV, entre ellos: ENZO MARI y VON GRAEVENITZ y del crítico MESTROVITCH. Con todos ellos la idea de la "Nouvelle Tendance" (Nueva Tendencia) como movimiento internacional toma forma en encuentros y discusiones diversas. Exposición "Arte programmata" en Italia, donde el GRAV participa. Viaje a Nueva York para la primera exposición del GRAV en los Estados Unidos. Texto personal: "A propósito de arte-espectáculo...". En la exposición "L'Art Latino-américain" en París, encuentro de otros latino­americanos.

Experiencias personales con la luz y móviles en un cubo translúcido y animación de una pieza con luz en movimiento proyectada en los muros, suelo y techo. Visualización de rayos de luz en movimiento. Experiencias con la luz rasante sobre un cilindro reflejante.

 

1963

 

Diversas manifestaciones del GRAV bajo el titulo: "La inestabilidad". Primer laberinto del grupo en la Bienal de París. Le Parc participa en nombre del grupo en el Congreso Internacional de Críticos de Arte en Rimini, donde presenta la "Proposición para un lugar de activación". Nuevo texto bajo el titulo: "Basta de mitificaciones". Con ocasión de la exposición "NOVE TENDENCIJE" en Zagreb, viaje y encuentro con la mayoría de los expositores, discusiones y organización de la "NT" como movimiento internacional. Nace Gabriel, segundo hijo.

Experiencias personales: incorporación de contingencias exteriores a la obra, proposiciones para laberintos, experiencias de recorridos, pasajes accidentados, primeros juegos. Obras de gran dimensión (Bienal de París).

 

1964

 

Organización de encuentros de los artistas de la "Nueva Tendencia" con vistas a una gran manifestación en París, en la cual Le Parc, conjuntamente con Morellet y Stein, realizan un laberinto. Proposición al GRAV de realizar "Un día en la calle". Viaje a Argentina y Brasil con ocasión de exposiciones del GRAV "La inestabilidad", encuentros, debates, discusiones, etc.

Personalmente, desarrollo de ideas para laberintos, pasa­jes, elementos para manipular, desarrollo de relieves con reflectores curvos.

 

1965

 

Con el grupo, realización del 3° Laberinto en New York. Publicación del texto "Stop-Art". Realización en la Bienal de París por el GRAV de una sala de juegos donde el espectador es considerado aún más como un elemento activo y determinante de las situaciones propuestas.

Personalmente, desarrollo de temas de juego, espejos en movimiento, elementos para salas de juegos, conjuntos de movimientos sorpresas, zapatos para caminar diferentemente, anteojos para ver de otra manera, etc. Nace Yamil, tercer hijo.

 

1966

 

Primera exposición personal (Galería Howard Wise, Nueva York); con el grupo, realización de una experiencia en la ciudad de París bajo el título: "UNE JOURNÉE DANS LA RUE" (Un día en la calle), experiencia comenzada a las ocho de la mañana y terminada a la medianoche a pesar de la intervención de la policía. Esta experiencia, programada en 1964, comportaba una presentación de diversos elementos que agrupados o no, provocaban situaciones diferentes cada dos horas y en diferentes lugares de la ciudad; ella iba acompañada de una hoja volante con un texto del GRAV, un plano con el programa del día y una encuesta.

Sala personal en la Bienal de Venecia. Le Parc obtiene el gran Premio Internacional de Pintura. Entrevista a Le Parc en la publicación ROBHO. Texto del GRAV sobre el tema de los "MÚLTIPLES". Primera exposición personal en París, Galería Denise René, Rive Droite y Rive Gauche; realización y presentación de múltiples. Presentación del grupo en la exposición "Kunst Licht Kunst" en EINDHOVEN, en forma de laberinto, donde la luz es empleada como una solicitación a la participación del espectador.

Personalmente desarrollo de los conjuntos con movimientos sorpresa, ensayos con la luz pulsante, serie de espejos, elementos para "Une journée dans la rue", múltiples.

 

1967

 

Segundo viaje a América Latina con ocasión de varias exposiciones personales. Encuentros, debates, cambio de ideas, discusiones, declaraciones, entrevistas, etc. Realización de "anti-voiture" (anti-automóvil). Realización con el GRAV de un Recorrido de Volumen Variable en París.

Personalmente, desarrollo de temas con luz pulsante, ambientación. formas en contorsión, muro transparente con placas reflectantes, etc.

Trabajo sobre el texto "Guerrilla cultural". Le Parc es condecorado por André Malraux. ministro de la Cultura de Francia, con el título: Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres.

 

1968

 

Publicación del texto "Guerrilla cultural" en "ROBHO... Con el título de "A la búsqueda de un nuevo espectador". Gran exposición del GRAV en Dortmund, en Alemania. con una gran sala de juego y una salida a la calle con elementos de juego y el "anti-automóvil". Con el grupo, realización de trabajos colectivos, uno bajo el titulo "Variaciones sobre la escalada" a Búffalo. otro a Saint Paúl de Vence, obra para penetrar y otro en Grenoble en un escenario giratorio sacando partido de los elementos móviles propuestos y del movimiento del escenario. En estas obras colectivas el espectador es siempre el elemento primordial y es él con su participación quien da sentido a lo propuesto. El grupo termina un proyecto de libro sobre sus actividades, reflexiones, textos, realizaciones, etc.

Mayo francés. Impugnación general. Taller popular de afiches. Con otros, Le Parc es expulsado de Francia, recorre vanos países de Europa, envía con Enzo Mari un telegrama a "DOCUMENTA" retirando su participación. Cinco meses después, la medida de expulsión es suspendida gracias a múltiples pedidos y acciones del medio cultural y Le Parc vuelve a París. Disolución del GRAV. Textos de análisis, texto "Desmitificar el arte". Análisis y discusiones sobre el comportamiento del artista.

 

1969

 

Año de transición, reflexiones colectivas, proyectos en común no realizados. Preparación de «América Latina no oficial». Boicot a la Bienal de Sao Paulo. Asambleas públicas, campaña internacional de movilización de artistas. intervenciones en el medio cultural, etc.

Primer juego encuesta: "Voltee los mitos". Realización de las células (piezas) donde la luz en vibración y movimiento envuelve al espectador. Le Parc retoma sus experiencias sobre el color de 1959, las sistematiza y las desarrolla.

 

1970

 

Fin 1970, comienzo 1971.

Segundo viaje a Cuba. Gran exposición personal en la Casa de las Américas, encuesta, discusiones públicas, encuentros, tentativa de creación de un equipo experimental, trabajando en colaboración con el pueblo.

Le Parc traslada su taller de París a Cachan, en los alrededores de París. Viaje a Puerto Rico con ocasión de la "I Bienal Americana de Grabado": allí, declaración colectiva en favor de las luchas de liberación de los pueblos latinoamericanos. Lectura en directo en la televisión de Puerto Rico. Viaje a Cuba, participación en el coloquio de La Habana sobre el tema: "Función social del arte en la sociedad contemporánea". Descubrimiento y contacto con la realidad revolucionaria cubana, análisis y discusiones con intelectuales y artistas sobre una nueva actitud. Texto personal de Le Parc sobre sus conclusiones a continuación del coloquio.

Realización colectiva: "América Latina no oficial" en París, gran manifestación de contra información a través de un recorrido visual de debates, actos, etc. Viaje a Colombia con ocasión de la Bienal de Medellin, juegos-encuestas, encuesta general, debates, encuentros, declaración colectiva sobre América Latina.

Desarrollo de juegos-encuestas y de temas sobre el color. Texto "Color 1959".

 

1971

 

Experiencia colectiva en Milán con MORELLET, STEIN, BORIANI, COLOMBO y DE VECCHI, al aire libre. Texto en respuesta a las preguntas de ENZO MARI. Tercer juego encuesta. Participación en la organización de una agrupación de artistas latinoamericanos en París, asambleas, discusiones, proyectos. Lucha en el medio cultural: Trabajo colectivo: "JOURNAL D'UNE VEUVE DE MINEUR". Movilización de Artistas, creación del FAP (Frente de Artistas Plásticos).

 

1972

 

Gran exposición retrospectiva personal en el Kunsthalle de Dusseldorf con varias salas, entre ellas una de juego y de participación del espectador; encuestas, juegos-encuestas, realización de una experiencia concebida conjuntamente con FROMANGER y MERRI JOLIVET, sobre el tema de cartas postales.

Publicación, con ocasión de esa exposición, de un importante catálogo donde están analizadas las diferentes experiencias y reunidos los principales textos y aportes.

Campaña con el FAP contra la exposición POMPIDOU, movilización de los artistas, asambleas, textos, declaraciones, etc. Le Parc renuncia a participar en esa exposición, individualmente o cómo ex miembro del GRAV.

Le Parc pone en cuestión una invitación a hacer una importante exposición retrospectiva en París; hace un texto de análisis y una reunión en el Museo de Arte Moderno, donde, aceptando el resultado del azar (pieza de moneda, cara y cruz), rechaza la invitación. Realización colectiva "LA TORTURA" con el grupo DENUNCIA. Le Parc asiste al «Primer encuentro de Plástica Latinoamericano" en La Habana, Casa de las Américas; análisis, discusiones, acuerdos, exposición, declaraciones, llamamiento.

 

1973

 

Viaje a la Argentina, contacto con la realidad argentina de un pueblo lleno de esperanza que cree haber encon­trado el camino de su liberación. Allí contactos con el medio cultural, discusiones, movilización de artistas, proyectos.

Exposición personal en Nueva York, a la cual Le Parc no puede asistir personalmente, pues el gobierno de los Estados Unidos le niega el visado. Le Parc asiste al "Segundo Encuentro de la Plástica latinoamericana» en La Habana, en la Casa de las Américas, donde se hace un balance de las realizaciones y posibilidades; una declaración colectiva acompaña a una exposición en el Museo de Bellas Artes, donde los participantes dedican un día a la memoria de Salvador Allende, realizando en público cada uno un cuadro. Le Parc, siendo profesor en la Facultad de Arte forma un equipo con los estudiantes y realizan varios trabajos colectivos, particularmente uno sobre el tema: "El trabajo".

 

1974

 

Desarrollo de tareas de solidaridad con el pueblo chileno por medio de "VIVA CHILE". Trabajos colectivos con los estudiantes de arte. Realización de un mural en base a temas de ondas-color y la larga marcha en el nuevo edificio RENAULT.

Desarrollo de experiencias de color en base a los 14 colores sobre temas de ondas, volúmenes virtuales y larga marcha. Texto personal sobre el FAP. Primeros ensayos sobre el tema "Modulaciones".

 

1975

 

Le Parc integra el "colectivo de pintores antifascistas", participando con análisis y tomas de posición y participa con él en la obra colectiva: "Un mundo a destruir - Un mundo a construir".

Viaje a Venecia y constitución de la Brigada internacional de pintores antifascistas, discusiones, análisis, acuerdos y realización de una obra colectiva en el puerto de Venecia y, más tarde, otra obra colectiva en Atenas, Desarrollo de temas con el titulo general de "Modulaciones" con la técnica del pincel de aire y particularmente con variaciones de gris en blanco y negro.

Se inicia la movilización de artistas alrededor del nuevo Centro Nacional de Arte "GEORGES POMPIDOU".

 

1976

 

Obra colectiva de la Brigada internacional en París. Banderola colectiva del colectivo de pintores antifascistas para el desfile del 1 de Mayo sobre el tema del nuevo centro de arte "Pompidou". La movilización de artistas alrededor del problema planteado por la aparición de ese nuevo centro continúa. Discusiones, asambleas, exigencias, etc. Texto-diálogo con Maurice Matieu en la publicación "16 rue de Lille". Texto personal en el núm. 2 de "16 rue de Lille". Le Parc prepara y realiza la maqueta para el libro a editar en La Coruña, incluyendo un máximo de informaciones sobre sus investigaciones, sus tomas de posición, sus textos, sus trabajos colectivos.

 

1977

 

Movilización de artistas continua frente a la existencia del Centro Beaubourg, reunión de 1.000 artistas en Creteil. Obra colectiva de la Brigada Internacional en el Festival de Royan.

Preparación y creación del S.N.A.P. (Sindicato Nacional de Artistas Plásticos) adherido a la C.G.T. Puesta a punto de un sistema de edición a base de «pochoirs» y pincel de aire.

Desarrollo de temas para edición de la familia de modulaciones. Preparación exposición personal en Madrid,

 

1978

 

En el marco de su exposición retrospectiva de Madrid: Encuesta pública para donar una obra, mesa redonda con la participación de la Asociación de Artistas Españoles, texto de Le Parc: "El artista de su contexto social actual". En sus exposiciones retrospectivas del Museo de Bilbao y de la Fundación Miró de Barcelona: intercambios, discusiones y reflexiones con estudiantes de arte y artistas.

Un libro es editado por Guadalimar en Madrid sobre Le Parc. En Aix-en-Provence, Le Parc da una conferencia debate en la Escuela de Arte y coordina un grupo de estudiantes en un trabajo colectivo de intervención y de participación del público, realizando en la calle.

Realización, con la Brigada Internacional de Pintores Anti­fascistas, de un trabajo mural en la calle a Villeparisis. Le Parc participa en el "Primer Encuentro Iberoamericano de Críticos de Arte y Artistas Plásticos", en Caracas: Enriquecimiento a base de intercambios confrontaciones y apor­tes sobre la problemática del arte latinoamericano, Le Parc presenta una ponencia titulada: "Interrogantes". Realización, con la Brigada de Pintores, de un mural en homenaje a la lucha del pueblo de Nicaragua. La BBC de Londres realiza un film sobre Le Parc y su obra; en esta ocasión, Le Parc pone a punto la idea de visualizar los problemas del artista en el social, a base de una serie de escenas con decorados y personajes recortados, lo cual da por resultado un audio-visual a base de diapositivas y una maqueta de film.

 

1979

 

Le Parc participa en el "Encuentro de Plástica Latinoamericana y del Caribe" en la Casa de las Americas. La Habana, Cuba; reencuentro con la realidad cubana y con la evolución de la problemática en el campo de las artes plásticas, intercambios positivos. Allí, Le Parc hace una serie de planteamientos relacionados con la creación, valorización y venta de la producción artística cubana y a su confrontación directa con el pueblo. Le Parc participa con su audio­visual "La otra faz del arte, el artista y su contexto social" en unas jornadas con jóvenes artistas españoles, organizadas en Montesquiu.

 

Le Parc hace una serie de exposiciones personales en Venezuela y una en Perú, ellas están acompañadas de encuentros con artistas y estudiantes de arte a través de múltiples mesas redondas, conferencias e intercambios, teniendo por base el audio-visual de Le Parc. Desarrollo de temas de la familia "Modulaciones", con más libertad y reincorporando el color. Reinicio de contactos con Italia: Encuentros, viajes y exposiciones.

 

1980

 

Le Parc participa en la "Settima Latino-Americana", en Roma; encuentro e intercambio con artistas, poetas, escritores, músicos y cineastas latinoamericanos. Elverio Maurizi escribe un libro sobre Le Parc: "Modulazione della luce", editado en Macérata con ocasión de una exposición personal de Le Parc alrededor de la cual se organizan debates. Intervención de Le Parc en la Facultad de Arquitectura de Nantes, Francia, En París, con escritores, músicos, plásticos e intelectuales latinoamericanos, Le Parc participa en la creación de la Asociación por la Cultura de América Latina.

Le Parc participa en Sofia, Bulgaria, en las Jornadas de la Cultura Latinoamericana, que son organizadas con la colaboración de la Casa de las Americas de Cuba; encuentro e intercambio con artistas, arquitectos y escritores búlgaros y reencuentro y nuevas relaciones con los participantes latinoamericanos. Con los artistas latinoamericanos: Gamarra, Guzmán, Krasno, Maza, Netto, Noé, Novoa, Pisa, Ravelo, Tomaséllo. Vanarsky, Le Parc participa en la tarea de dar forma y concretar la idea de crear en París un espacio cultural latinoamericano, el cual es inaugurado en diciembre y que se da como objetivo de promover y difundir, en la medida de sus posibilidades, la cultura latinoamericana. Le Parc desarrolla nuevos temas de la familia "Modulaciones", acentuando la presencia de la luz.

 

1981

 

Preparando su gran exposición retrospectiva para el Museo de Bellas Artes de Caracas, Le Parc ajusta nuevos temas de las experiencias con luz y de juegos; asimismo lleva, más adelante, los planteamientos de sus últimas telas donde la representación de sus últimas telas, donde la representación de la luz adquiere cada vez más una presencia preponderante. Con el arquitecto-pintor Carrossino, Le Parc forma equipo para presentar un proyecto a la Bienal

Mundial de Arquitectura, que se realiza en Sofía, Bulgaria, con el tema: "Arquitectura de sociedades urbanizadas". Este proyecto, a base de diferentes propuestas espaciales de intervención, busca un nuevo comportamiento social donde la participación, la interrelación, la comunicación, la creatividad de la gente es incitada a través de una reflexión y acción colectiva.

Con más de doscientas obras se realiza la exposición retrospectiva de Le Parc en Caracas, la cual crea una relación amplia y directa con el público. Con ocasión de su nuevo viaje, contactos, en Venezuela, en Colombia y en Nueva York. Realización de una exposición histórica del GRAV en Macérata, Italia.

Le Parc participa, con otros trescientos delegados, en el "Encuentro de Intelectuales por la soberanía de los Pueblos de nuestra América", celebrado en septiembre, en La Habana. Allí, Le Parc presenta una ponencia titulada: "La valorización: arma clave para la penetración cultural".

Asimismo, Le Parc participa en el encuentro "Artes plásticas e identidad latinoamericana", organizado por el Foro de Arte Contemporáneo, en la ciudad de México, presentando un texto de respuesta a una ponencia del crítico Juan Acha, estableciendo allí nuevos contactos con la plástica mexicana. En esa ocasión se realiza un mural colectivo de apoyo a la lucha del pueblo del Salvador. Otro mural colectivo con el mismo tema es realizado por la Brigada de Pintores Antifascistas, con el cual la A.C.A.L. participa en la manifestación de calle realizada en París.

Nuevo viaje y contactos en Cuba con ocasión de una exposición personal en la Casa de las Americas de la Habana. Exposición que pasa a Managua, donde Le Parc es invitado. Contactos con la Revolución Sandinista; planteamientos e intercambios con los artistas nicaragüenses. Diversos viajes a Italia: Exposiciones y nuevas relaciones con artistas italianos.

 

1982

 

Le Parc, con un grupo de artistas latinoamericanos, inician los trámites oficiales en el Ministerio de la Cultura de Francia a fin de realizar en París (Centro Pompidou) una importante manifestación de arte latinoamericano; manifestación que dé una más justa imagen de América Latina a través de las artes plásticas.

Le Parc presta su apoyo a la organización de una importante exposición de artistas latinoamericanos, trabajando en Europa, que se realiza en el Museo de Arte Moderno de Venecia. En esa ocasión, Le Parc es invitado a participar en un coloquio, para el cual responde, por escrito, a una serie de preguntas.

No sin problemas, el "Espace Latino-Americain" del cual Le Parc forma parte, continúa sus actividades de difusión del arte latinoamericano en su local de París; luego de la desaparición de Krasno, su principal animador, Le Parc participa activamente en una reestructuración que va a permitir al espacio subsistir y continuar su labor. "Droits socialistes de l'homme" llaman a un grupo de artistas, entre los cuales se encuentra Le Parc, a colaborar en el montaje de, una enorme exposición de artistas latinoamericanos de París, que se realiza en el Grand Palais. Ocasión en la que se pone de manifiesto la pujante creatividad de los artistas

latinoamericanos de París y que permite un mejor conocimiento entre ellos frente al internacionalismo del arte.

Le Parc forma parte del Comité de Artistas del Mundo contra el Apartheid.

 

1983

 

Le Parc es invitado a participar en el encuentro "Creation et developpement", que organiza el Ministerio de la Cultura de Francia en la Sorbona. Encuentro de una importancia extraordinaria, ya sea por la cantidad y calidad de sus participantes (400 participantes de nivel internacional de todas las partes del mundo y de todas las disciplinas artísticas e intelectuales), ya sea por el contexto de crisis universal del momento, ya sea por los temas tratados, ya sea por los intercambios a nivel personal realizados. En ese encuentro el grupo de latinoamericanos señaló la existencia de la cultura latinoamericana, la visión que de ella debe tenerse y la necesidad de una nueva apreciación que le permita un lugar más justo a nivel internacional. Le Parc centró su intervención sobre el problema de la valorización. Al interior del espacio latinoamericano, Le Parc organiza una exposición titulada "Chine", cadena, que tiene por objetivo la búsqueda de nuevos sistemas de elección y de mutua consideración entre los artistas. Le Parc rechaza participaren la exposición "Electra" en el Museo de Arte Moderno de París, y denuncia la incongruencia de los organizadores a través de un texto. A la ocasión de una exposición personal en Madrid, Le Parc hace un texto titulado: "Algunas reflexiones sobre mi trabajo actual".

Realización de un mural de 150 m2 para la ciudad de Fuengirola-España.

Le Parc participa al "parque de esculturas al aire libre en Medellin Colombia, realizando dos obras monumentales.

Le Parc es condecorado por Jack Lang, ministro de la Cultura de Francia con el título: "Officier de l’Ordre des Arts et des Lettres"

 

1984

 

Estancia en Cuba para el XX aniversario de la Casa de las Américas. Participación como jurado en la 1era. Bienal de la Habana. Proposiciones, discusiones, nuevos contactos con el medio cultural cubano, realización de dos serigrafías.

Viaje a Buenos Aires luego de 11 años de ausencia, en ocasión de una exposición personal, reencuentro con un país que despierta de la pesadilla de a dictadura militar, intercambios, discusiones públicas, nuevos contactos; a la vuel­ta de ese viaje Le Parc envía a los responsables culturales de Argentina una propuesta concerniendo las artes plásticas.

Viaje a Colombia para una serie de exposiciones, y realizando en el Museo Omar Rayo de una obra "peatonal" para Palmira, y participa con otros pintores en una experiencia en la calle con el público de Roldanillo. En Medellin para el parque de esculturas, propone un proyecto de encuestas a realizar entre los visitantes.

En Lima - Perú, Proyección del audio-visual "ser artista hoy", y mesa redonda sobre el tema.

 

1985

 

Primer viaje a Ecuador, en ocasión de una exposición personal. Encuentro con el medio artístico ecuatoriano a tra­vés de diálogos privados y públicos.

Le Parc participa en la carpeta de obras gráficas sobre la declaración universal de derechos humanos, en homenaje de Fray Bartolomé de las Casas que fue presentada al Rey de España, en Madrid.

En Carboneras, España, Le Parc monta un taller personal y participa en taller de iniciación plástica. Realización de ediciones con el sistema "Pochoirs", para España e Italia en taller de ediciones montado en Cachan - Francia, por sus hijos Juancito y Gabriel.

Le Parc dirige en el Circulo de Bellas Artes de Madrid, un taller de arte actual, se realiza con los componentes del taller una intervención colectiva en el Parque del Retiro. Le Parc prepara su exposición antológica para las Salas de Exposiciones del Ayuntamiento de Valencia.

Le Parc participa en La Habana, organizado por la Casa de las Américas, al II Encuentro de Intelectuales por la soberanía de nuestra América. En esa ocasión presenta la proposición "Cabildo abierto de las Artes Plásticas".

Participación al encuentro "Diálogo de todas las Américas" que se organiza en Nueva York y que es un intercambio sobre temas políticos, económicos y culturales entre creadores e intelectuales latinoamericanos y norteamericanos.

 

1986

 

El Círculo de Bellas Artes de Madrid encarga a Le Parc la organización de su tradicional y prestigioso "Baile de Máscara". Ello da la ocasión a un intenso trabajo colectivo al cual participan los componentes del taller de arte actual y que se concreta en la ocupación artística de todo el edificio y en la organización de la fiesta y da lugar a una vivida experiencia que agudiza la imaginación de todos los participantes desembocando en una fiesta participativa en un entorno muy creativo.

Le Parc prosigue su trabajo personal de la serie modulaciones.

Para la exposición "Giovani e Maestri" de Roma realiza, en gran dimensión, una obra en cuatro partes, dos otras obras semejantes son realizadas para la simultánea en las Galerías Rayuela y Juan Gris de Madrid.

Después de haber visitado en Madrid la exposición 'contraste de Forma", organizada por los norteamericanos, Le Parc reacciona a lo arbitrario de esa exposición con un texto publicado en Diario 16.

Participación a la Bienal de Venecia y nuevo reencuentro con el medio artístico en esa ciudad.

Le Parc realiza, a la ocasión de la realización de un cortometraje, una manifestación en su taller titulada "Puertas Abiertas" que incluye, además de una retrospectiva de su obra, las realizaciones de otros miembros de su familia y de jóvenes artistas allegados al taller.

Invitado a la II Bienal de La Habana, Le Parc dirige en esa ciudad, durante un mes, un taller con jóvenes creadores cubanos, lo cual se transforma en una intensa actividad que desemboca en un día completo de experiencias colectivas en el espacio de una plaza de la ciudad y en estrecho contacto con un amplio público popular. Ello da lugar a un escrito de Le Parc reflexionando sobre la Bienal en general y sobre esa experiencia en particular.

 

1987

 

Participando a la I Bienal de Arte Americano en la ciudad de Cuenca, de Ecuador, Le Parc obtiene el Gran Premio consis­tente en 20.000 dólares. Parte de esa suma Le Parc la dona en partes iguales, de un lado al pueblo Nicaragüense en la pesona de su Vicepresidente el escritor Sergio Ramírez y de otro lado para que sean impartidos en la II Bienal de Cuenca un premio para un joven artista ecuatoriano y otro para un joven artista latinoamericano.

Le Parc, por sus actividades artísticas, realiza otro viaje a algunas ciudades latinoamericanas (Quito, Cuenca, Bogotá, Medellin, Panamá, Santiago de Chile, Mendoza, Buenos Aires) lo cual revitaliza sus lazos con creadores latinoamericanos y le hace compenetrarse con las realidades de esos países, sobre todo a nivel artístico a través de varias reuniones, charla, discusiones públicas, etc.

Continuando su participación en el Espacio Latinoamericano de París, Le Parc sostiene la ampliación de esta asociación con la incorporación de jóvenes artistas. A fin de este año nace Luna Luz primera nieta hija de Juancito y Ely.

 

1988

 

Le Parc es invitado al Congreso de la U.N.E.A.C. en La Habana lo cual le permite asistir a sus vitales secciones y en ese clima de cambios y propuestas hace un pequeño saludo crítico-constructivo.

Le Parc desarrollando la temática de las modulaciones aborda una nueva serie bajo el título genérico de "Alquimias" Le Parc dedica varios meses del año 1988 a la preparación de su gran exposición Retrospectiva que resume 30 años de experiencias y que bajo el título de "Le Parc & Le Parc" (que engloba la participación artística de su familia) se realiza en las Salas Nacionales de la Dirección de Artes Visuales de la Secretaría de Cultura de la Nación Argentina. Ello da una nueva oportunidad de reencuentro con su país y con su medio cultural.

 

 

 

 

 

NOTE BIOGRAPHIQUE

ATELIER LE PARC - 2014